e époque, la technologie ne dictait pas le rythme des échanges. Les conversations avaient lieu face à face, dans la cour de l’école ou autour d’un café, ou bien par le téléphone fixe posé sur un meuble du salon. Et pour les plus créatives, il y avait les lettres manuscrites, parfois parfumées ou ornées d’un petit dessin.
Résultat : chaque mot, chaque geste comptait. On savourait l’attente d’un appel ou le plaisir d’ouvrir une enveloppe. Rien à voir avec les messages instantanés d’aujourd’hui qui, bien que pratiques, manquent parfois de chaleur et de présence.
Des rencontres qui avaient le goût du hasard







