Ce jour-là, j’ai découvert une nouvelle facette de mon fils. Un cœur immense. Une maturité rare. Une capacité d’empathie que je n’avais jamais imaginée.
Il n’avait pas besoin d’être grondé, mais d’être soutenu.
Alors je suis revenue, avec lui. Nous avons parlé à Chloé, nous l’avons rassurée. J’ai pris les choses en main : des appels à des associations, un coup de main pour les démarches administratives, quelques repas maison déposés de temps en temps.






