Pourquoi ? Parce que contrairement à l’IMC (indice de masse corporelle), qui ne distingue pas la graisse des muscles ni leur localisation, la taille du cou offre un aperçu plus précis sur la présence de graisse dite « viscérale », située dans le haut du corps. Et cette graisse-là est particulièrement active sur le plan métabolique : elle libère des substances qui peuvent perturber nos fonctions corporelles, provoquer de l’inflammation ou encore affecter la régulation de la glycémie.
Ce que votre cou pourrait prédire (et ce n’est pas rassurant)







