Un soir, je lui ai demandé doucement : « Maman… es-tu toujours triste ? »
Elle a souri, le regard calme. « Triste ? Non, pas du tout. Je t’ai, je peux te cuisiner, je peux voir Kabir grandir. C’est déjà assez de bonheur. »
Ses mots m’ont apaisée plus que le temps n’aurait pu le faire.






