Un frisson parcourt la salle. Ce geste simple, instinctif, touche profondément. Le public retient d’abord son souffle, puis éclate en applaudissements. Certains rient, d’autres pleurent. L’émotion est brute, pure, impossible à feindre.
Une compassion vraie au cœur d’une fiction

Ce qui frappe, c’est la spontanéité du geste. Le chien ne joue pas. Il ne fait pas semblant. Il pense sincèrement qu’un homme est en détresse. Alors il fait ce que les animaux savent faire avec naturel : il offre sa présence, sans condition, sans peur, sans calcul.






