Son corps la démangeait, je pensais que c’était une allergie, mais ils lui ont diagnostiqué…

Soudain, nos vies se sont transformées en visites à l’hôpital sans fin, en traitements et en un poids écrasant d’incertitude. Les démangeaisons que nous avions initialement considérées comme un léger désagrément étaient désormais un sombre rappel de la propagation de la maladie dans son corps. Je l’ai vu endurer la chimiothérapie ; ses forces diminuaient à chaque traitement, et il ne s’est jamais plaint. Dans les moments de calme, je parcourais les premiers signes, me demandant si nous aurions pu le détecter plus tôt, si seulement j’avais cherché des réponses plus tôt.