L’AVC ischémique – le plus courant, causé par l’obstruction d’une artère due à un caillot sanguin ou à une accumulation de cholestérol ;
L’AVC hémorragique – survient lorsqu’un saignement cérébral survient suite à la rupture d’un vaisseau sanguin, à un anévrisme ou à un traumatisme crânien ;
L’accident ischémique transitoire (AIT) – également appelé « mini-AVC ». Il s’agit d’un blocage temporaire qui disparaît spontanément, mais il s’agit d’un signe sérieux d’un risque accru d’AVC.
Les symptômes d’un AVC dépendent de la partie du cerveau touchée, mais certains signes avant-coureurs peuvent apparaître des semaines, voire des mois, avant un AVC complet.






