Le chef d’un hôpital révèle le plat réconfortant le plus souvent demandé avant de mourir

Cuisiner avec le cœur… et s’adapter

Cuisiner pour des patients en fin de vie demande une attention toute particulière. Beaucoup ont des difficultés à avaler, ou perdent le goût à cause des traitements. Spencer l’a bien compris : il adapte les textures, joue avec les arômes, allège les plats en sel… tout en gardant l’essentiel : le plaisir.

« Ce n’est pas juste une question de goût, c’est une question d’émotion. La nourriture peut faire remonter un souvenir d’enfance, rappeler un moment de fête ou simplement apaiser. »

Et bien souvent, un élément revient dans les envies des patients : le sucré. Un petit flan, une crème à la vanille, un biscuit moelleux… Des douceurs qui apportent du réconfort, même lorsque le reste semble s’effacer.